S’accorder sur quelques principes forts :
- tout changement est, par nature, déstabilisant,
- sans bénéfice à changer, on ne change pas,
- un changement ne se décrète pas, il s’accompagne,
- une carte n’est pas le territoire ou savoir prendre en compte les perceptions du changement, selon qu’on est décideur, accompagnateur ou exécutant.
Savoir distinguer entre :
- changement voulu et changement subi et la nature différente des impacts sur les différents publics concernés,
- changement de niveau 1 assimilation et changement de niveau 2 accommodation pour un dialogue adapté,
- les états émotionnels rencontrés dans le travail de deuil pour mieux accompagner avec bienveillance.
Savoir conduire un changement :
- clarifier le négociable du non négociable,
- poser les choix tactiques (passage en force, politique de petits pas)
- repérer les symptômes (désorientation, désengagement, colère, nostalgie)
- diagnostiquer les « zones » de résistance.